Il n'y a pas très longtemps, un pot en cristal
avait été mis aux enchères au Royaume-Uni. Les
commissaires-priseurs l'avaient décrit comme une " petite
aiguière française du XIXe siècle ", estimant
sa valeur à 200 dollars américains. Deux experts soumissionnaires
reconnurent le pot comme étant une aiguière islamique
extrêmement rare. Quelle était sa vraie valeur? Environ
6,5 millions de dollars américains. Qu'est-ce qui avait permis
à ces acheteurs de faire une telle bonne affaire? Ils savaient
quelque chose que les commissaires-priseurs ne savaient pas: la vraie
valeur de la cruche.
Dans Éphésiens
5:1-20, Paul oppose les pratiques des païens à celles
des croyants. Les païens considéraient les paroles déshonnêtes
(Éphésiens
5:4), la débauche (Éphésiens
5:18) et l'impudicité (Éphésiens
5:3, 5) comme de grands trésors de la vie. Les croyants,
cependant, savent qu'un jour de compte ultime vient, jour où
la vraie valeur de toutes choses se fera voir (Éphésiens
5:5, 6). Au lieu de perdre leur temps dans la fête et l'ivresse,
ils chérissent, entre autres choses, " toute sorte
de bonté, de justice et de vérité "
(Éphésiens 5:9, LSG) en Christ. Paul les exhorte donc
à s'emparer des bonnes accassions en Christ alors qu'ils vivent
(comme nous le faisons tous) au seuil de l'éternité (Éphésiens
5:15-17).
Étudiez cette leçon pour le sabbat 26
août.
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