Lisez Ellen WHITE, Les paraboles de Jésus, " Perdu
et retrouvé ", p. 167-177; " Un grand abîme
", p. 221 ; Jésus-Christ, " Le départ
définitif de la Galilée ", p. 492,493 ; Témoignages
pour l'Église, vol. 1, " Perdu et retrouvé
", p. 348-352.
"
Remarquez combien le Seigneur est tendre et compatissant
dans ses rapports avec ses créatures. Il aime l'enfant
égaré et l'engage à revenir à la
maison. Le Père entoure de ses bras le fils repentant,
couvre ses haillons de ses propres vêtements, lui met
un anneau au doigt, comme un signe de sa dignité royale.
Cependant, combien de gens regardent l'enfant prodigue non seulement
avec indifférence, mais avec mépris. Comme le
pharisien de la parabole, ils disent : " Ô
Dieu, je te rends grâce de ce que je ne suis pas comme
le reste des hommes." (Luc 18.11) Mais comment
pensez-vous que Dieu vous considère, vous qui prétendez
être ouvriers avec le Christ, alors qu'une âme lutte
contre le flat montant de la tentation et que vous vous tenez
à côté d'elle, tel le frère aîné
de la parabole, inflexible, entêté, égoïste
! " - Ellen WHITE, Le ministère évangélique,
p. 134.
"
Par le ministère des anges, la force et la grâce
sont communiquées à tout croyant de la part de
Jésus-Christ. Nul n'est pécheur au point de ne
pouvoir trouver force, pureté et justice en celui qui
est mort pour nous. Jésus ne désire rien tant
que de nous enlever nos vêtements taches et souillés
par le péché, et de nous revêtir des robes
blanches de la justice. Il nous supplie de vivre, de ne pas
mourir. " - Ellen WHITE, Le meilleur chemin,
" Foi, paix, assurance ", p. 51.
Comment comprendre le fait que des frères et surs,
bien qu'ayant eu les mêmes parents, le même foyer,
et le même environnement puissent aller dans des directions
bien différentes ?
Comment
aider ceux qui - s'étant détournés du Seigneur,
ayant connu le monde, s'étant blessés eux-mêmes
et ayant blessé d'autres - veulent oublier leur passe,
mais n'y parviennent pas, car, quoiqu'ils fassent, ils ont devant
les yeux les conséquences de leurs choix passes ? Quel
espoir, quelles promesses, quelle aide allez-vous leur apporter
?
C'est
une chose de se mettre dans une situation impossible, comme le
fils prodigue. Mais que penser de ceux qui " quittent
la maison de leur père " et cependant vont bien
? Reconnaissons-le : tous ceux qui s'éloignent du Seigneur
ne finissent pas par nourrir des cochons ! Que faire pour les
aider à prendre conscience qu'en dépit des circonstances,
ils ont fait un choix funeste ?