MARDI 22 mars, 2016
13_ La redemption


Le jugement dernier


Aux temps bibliques, il y avait deux endroits de jugement: à la porte de la ville et devant le trône du roi. Les anciens à la porte décidaient sur toutes les petites affaires, mais le roi décidait à propos de toutes les grandes questions. Son jugement était le dernier mot pour garantir la justice. De même, la Bible décrit Dieu trônant comme Roi de l’univers, en garantissant la justice finale (Ap 20.11-15).

Lisez Ap 20.7-15.

Comment comprenons-nous ces mémo- rables événements?

Apocalypse 20 parle des mille ans; donc, ce jugement particulier se produira dans ce laps de temps. C’est la même scène qui est décrite dans le verset 4, où il y a beaucoup de trônes, parce que dans le verset 11 , il n’y en a qu’un seul. Plutôt que d’être au début des mille ans, ce jugement est à la fin, après la deuxième résurrection (Ap 20.5), et après que Satan ait convaincu les perdus d’entourer la ville sainte ( Ap 20.7-9). Le grand trône blanc de Dieu sera alors vu au-dessus de la ville. Tout le monde est présent; certains à l’intérieur de la ville, d’autre dehors.

C’est le moment auquel Jésus faisait référence quand Il disait qu’il y aurait certains qui demanderont à Dieu pourquoi ils ne sont pas amenés au royaume de Dieu (Mt 7.22, 23). C’est aussi de ce moment que Paul parlait comme un jour où tout genou doit se prosterner devant Jésus, « afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » ( Ph 2.10-11 LSG).

Le but du jugement n’est pas d’enseigner quelque chose à Dieu qu’Il ne connait pas encore, car Il sait tout déjà. Le but est de veiller à ce que tout le monde sache exactement pourquoi Dieu a jugé comme tel. Chaque personne, chaque ange, sera en mesure de dire: « Tu es juste, toi qui es, et qui étais; tu es saint, parce que tu as exercé ce jugement » ( Ap 16.5 LSG). Les rachetés et les perdus, aussi bien les humains que les anges, verront la justice et la droiture de Dieu.

Le dernier acte de ce drame est la destruction de la « mort et du hadès (séjour des morts) » ainsi que quiconque ne « fut pas écrit dans le livre de vie » ( Ap 20.14, 15 LSG). Jésus tient les clés de la mort et du hadès (Ap 1.18). Aucun d’eux n’a de raison d’exister encore. Plutôt que d’affronter le tourment éternel, comme il est si souvent enseigné, les perdus sont détruits. Ils cessent d’exister pour toujours, à l’opposé de la vie éternelle.

 

 

 

 
a venue de Jesus