MARDI, 12 novembre , 2013
7_ Le Christ, notre sacrifice


Le sang du Christ


La notion de sang rédempteur imprègne la Bible tout entière. Dès les premiers sacrifices d’animaux après la chute d’Adam et Eve, le sang a été constamment présent. Les rituels fondes sur le sang caractérisaient le système sacrificiel israélite afin d’illustrer cette vérité capitale: en l’absence de sang, nous ne pouvions pas être pardonnés de nos péchés et nous trouver en présence de Dieu. Le sang était l’unique moyen par lequel recevoir la miséricorde de Dieu et communier avec lui.

Lisez les passages suivants tirés de l’épître aux Hébreux sur le sang du Christ a sur le sang des sacrifices de l’Ancien Testament. Qu’enseignent-ils à ce sujet?

He 9.12; He 9.14

He 9.18 ;He 9.22

He 10.19 ;He 12.24

He 13.12 ;He 13.20

Le sang du Christ ne se réfère pas à sa vie; il symbolise sa mort de substitution et, comme tel, en évoque la fonction. Le sang versé du Christ possède de multiples fonctions surprenantes. Il procure une rédemption éternelle, la purification des péchés, le pardon, la sanctification et il est la raison même de la résurrection.

On trouve dans l’épitre aux Hébreux ce contraste puissant: le sang du Christ a une plus grande valeur que n’importe quel autre sang. En fait, aucun autre sang ne peut procurer le pardon; la mort du Christ est l’unique raison pour laquelle les péchés ont été pardonnés avant la croix et sont pardonnés depuis (He 9.15). Le sang versé par le Christ et les effets qui en ont découlé montrent clairement que sa mort était une mort de substitution: en ce sens, il a pris sur lui le châtiment que nous méritions.

Pourquoi une compréhension correcte de la mort du Christ délivre-t-elle de l’idée que nos œuvres peuvent nous sauver?