VENDREDI 9 août, 2013

 

« Une confession ne sera jamais acceptée par Dieu si elle n'est pas accompagnée d'un repentir sincère et d'une réforme. Il faut qu’un changement radical de la vie l’accompagne et que tout ce qui n'est pas agréable à Dieu soit mis de côté. Ce sera la conséquence de la douleur réelle du péché.

La tâche qui nous incombe nous est clairement révélée “Lavez-vous, purifiez-vous, ôtez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions; cessez de faire le mal. Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, protégez l’opprimé; faites droit à l’orphelin, défendez la veuve.” (Ésaïe 1.16, 17) “Si le méchant rend le gage, sil restitue ce qu’il a ravi, s’il suit les préceptes qui donnent la vie, sans commettre l’iniquité, il vivra, il ne mourra pas” (Ezéchiel 33.15).» — Ellen WHITE, Le meilleur chemin, « La confession », p. 35.

 

À méditer

 

• Quelle leçon essentielle nous donne le fait que Jésus était disposé à pardonner à ceux qui l’avaient cloué sur la croix ? S’il était prêt à agir ainsi, combien cela devrait nous disposer à pardonner à ceux qui nous ont offensés?

• D’après votre expérience, en quoi la confession des péchés a-t-elle été pour vous une bénédiction ? De quelle façon vous a-t-elle aidé à mieux vivre vos relations, non seulement avec le Seigneur, mais aussi avec autrui?

• Si nous avons vu cette semaine qu’il était parfois nécessaire de confesser nos torts aux personnes que nous avons offensées, pourquoi devons-nous toujours être très prudents dans nos propos vis-à-vis d’eux?

• Il n’y a pas d’authentique repentance sans abandon du péché. Que se passe-t-il cependant si, tout en luttant contre ce péché, nous rechutons? Notre repentance n’était-elle pas sincère? Ne serons-nous plus pardonnés ? Si c’était le cas, quel espoir aurions-nous? Comment comprendre la repentance biblique tout en gardant à l’esprit la réalité de notre nature pécheresse?

• D’après le sujet de cette semaine, pourquoi la repentance est-elle un élément vital dans tout réveil et toute réforme? Pourquoi la nécessité de se repentir est-elle intrinsèquement liée aux termes de réveil et de réforme?