Lisez
2
P 3.3-7. Comparez la description des« moqueurs»
des derniers jours avec notre société contemporaine.
Que nient les railleurs et pourquoi ?
Les
railleurs déclarent que la nature n'a cessé
d'exister, théorie connue par les scientifiques sous
Le nom d'« uniformitarisme » Cette façon
de voir équivaut à nier l'existence des miracles,
mais également le retour de Jésus comme il
l'a promis.
Remarquez
que Pierre fait le lien entre leur déni du retour
du Christ et celui du récit de la création
(et du déluge !). Nier l'un conduit à nier
l'autre !
Lisez
Ap
14.6, 7. Alors que les moqueurs doutent et chicanent,
quel message sera proclame avec une puissance céleste?
Les
moqueurs se trompent. Le jugement vient et nous sommes invités
à adorer celui « qui a fait le ciel, la terre,
la mer » et tout le teste. Ce sont là les termes
mêmes du récit de la création. Le passage
fait allusion à Ex
20.11 et souligne la signification et l'importance de
la création et du sabbat à la fin des temps.
Alors que le sabbat symbolise le récit biblique de
la création et de la rédemption, le rejet
de l'histoire de la création conduit à rejeter
le sabbat du septième jour et à établir
un substitut choisi par l'homme. Prostitution spirituelle
et éloignement de Dieu en sont les résultats,
comme nous l'indique le passage d'Ap
14.8-10.
Dieu
invite les hommes à l'adorer en tant que Créateur,
et rien d'autre dans la Bible ne fait ressortir ce caractère
aussi bien que le repos du septième jour, ou sabbat.
Il n'est donc pas surprenant de considérer que le
sabbat, signe originel de Dieu comme Créateur, sera
l'un des pivots des deniers jours.
Pourquoi
le rejet d’une création en six jours littéraux
amoindrit-il l’importance du sabbat du septième
jour? Si notre compréhension de ce jour n’est
pas bien encrée en nous, continuerons-nous à
les respecter lorsque viendront les persécutions
?