MERCREDI 6 mars, 2013
10_ Gestion et environnement

 

Gestionnaires de notre santé



Comme nous l’avons vu jusqu'à présent pendant ce trimestre, la création originelle de Dieu était« bonne », même « très bonne ». Toutes choses et tout être vivant sont sortis des mains du Créateur dans un état de perfection. Il n'y avait ni maladie, ni mort contrairement au modèle évolutionniste - selon lequel la maladie et la mort participent à la création - ces maux ne sont survenus qu'après la chute, après la venue du péché. Ainsi, ce n'est qu'avec l'histoire de la création en arrière-plan que l'on peut comprendre l'enseignement biblique sur la santé et la guérison.

Lisez 1 Co 6:19,20. En quoi sommes-nous responsables devant Dieu de la façon dont nous prenons soin de notre corps?

Notre corps est le véhicule de notre cerveau et c'est à travers le cerveau que le Saint-Esprit communique avec nous. Si nous souhaitons vivre en communion avec Dieu, nous devons prendre soin de notre corps et de notre cerveau. Lorsque nous maltraitons notre corps, nous nous détruisons à la fois physiquement et spirituellement. D'après ces versets, le problème de la santé et de la façon dont nous traitons notre corps, « sanctuaire de l'Esprit saint », est une question d'ordre moral aux conséquences éternelles.

Le fait de prendre soin de sa santé est un aspect vital de la relation avec Dieu. Il est certain que certains aspects de notre santé échappent à notre pouvoir. Nous avons tous des gènes défaillants, nous sommes tous exposés à des produits chimiques ou autres agents destructeurs dont nous ne savons rien et nous risquons tous de subir des blessures physiques qui risquent de porter atteinte à notre santé. Dieu sait tout cela. Mais dans la mesure du possible, nous devons faire de notre mieux pour garder en bonne santé ce corps fait à l'image de Dieu.

« Quiconque aspire à la sainteté ne doit pas traiter son corps avec indifférence, se flattant de penser que l'intempérance n'est pas un péché et n'aura aucun effet sur la spiritualité. Il existe un lien étroit entre le physique et la moralité. Toute habitude touchant le corps élève ou dégrade [...] Toute habitude qui ne favorise pas, chez l’être humain, la santé de ses systèmes physiques, amoindrit les facultés les plus élevées et les plus nobles. » - Ellen WHITE, The Review and Herald; 25 janvier 1881.