À LIRE : Ellen WHITE décrit le ministère de guérison et d'enseignement
de Jésus dans Jésus-Christ, << A Capernaum >>, p. 235-245.
<< L'oeuvre d'évangélisation nécessite tact et sagesse. Le Sauveur
ne supprimait jamais la vérité, l'exprimant cependant toujours avec
amour. Dans ses relatons avec les autres hommes, il faisait preuve
du plus grand tact et se montrait toujours bon et attentionné. Il
n'était jamais brutal, ne prononçait jamais une parole sévère inutilement,
n'infligeait jamais de la peine à une âme sensible sans nécessité.
Il ne blâmait pas la faiblesse humaine. Il n'avait pas peur de dénoncer
l'hypocrisie, l'incroyance et l'iniquité et pourtant, il avait des
larmes dans la voix lorsqu'il prononçait des réprimandes cinglantes.
Il ne rendait jamais la vérité cruelle et toujours, manifestait
une tendresse profonde envers l'humanité. Toutes les âmes étaient
précieuses à ses yeux. Il se composait lui-même avec une dignité
toute divine et, cependant, se penchait avec la compassion et le
respect les plus tendres vers chaque membre de la famille de Dieu.
Il voyait en tout homme une âme qu'il lui appartenait de sauver.
>> - Ellen WHITE, Gospel Workers, p. 117.
Que la classe relise
ce qu'Ellen White a écrit ci-dessus sur méditer la façon dont
le Christ exerçait son ministère auprès des hommes. Discutez
des principes que vous y trouvez, puis de la façon dont votre
église, en tant que corps, reflète ces principes.
Connaissez-vous un
<< roseau qui ploie >> ou une << mèche qui vacille
>> (Es 42.3) ? Comment aider cette personne sans la << casser
>> ni << l'éteindre >> ? Comment la diriger ver
le Seigneur? Que lui conseilleriez- vous de faire, sur un
plan pratique, pour obtenir aide et guérison?
L'argument en faveur
de différents auteurs concernant Esaïe est né de l'a priori
selon lequel on ne peut prédire l'avenir de façon aussi précise.
Quel est le problème fondamental que cet argument soulève
et pourquoi, nous qui sommes chrétiens, devons-nous rejeter
aussitôt un tel a priori? .
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