A LIRE : Ellen WHITE, La tragédie des siècles, " Le spiritisme
", p.599-610.
" Chez les anciens Hébreux, des personnes prétendaient, comme les
esprits de nos jours, communiquer avec les morts. Mais les " esprits
de Python, " comme ils sont nommés dans la Bible, sont aussi appellés
des " esprits de dé- mons " (cf. Nb
25.1-3 ; Ps
106.28 ; 1
Co 10.20 ; Ap
16.14). Tout commerce avec eux est une abomination, et ceux
qui s'y livrent sont passibles de la peine de mort " ( Lv
19.31 ;20.27).
" La sorcellerie " est maintenant un objet de mépris. On considère
comme une su-perstition du Moyen Age la pré- tention d'entrer en
rapport avec les mauvais esprits. Mais le spiritisme - qui compte
ses adeptes par centaines de mil-liers, que dis-je ? par millions,
qui a fait son entrée dans les cercles scientifiques, qui a envahi
les églises et qui jouit de l'estime des corps législatifs et même
des rois - cette gigantesque séduction n'est que la réapparition,
sous une au-tre forme, de la sorcellerie autrefois condamnée et
interdite. " - Ellen WHITE, La tragédie des siècles, " Le
spiritis-me ", p. 604, 605.
Discutez du problème
du spiritisme, tel qu'il se manifeste dans les films, les
livres, la télévision et la culture popu-laire. S'il n'est
pas possible de le faire disparaître, comment alerter autrui
du danger de ce qui, pour tant de gens, apparaît simplement
comme une distraction innocente ? Pourquoi le fait de comprendre
correctement quelle est la condition des morts préserve-t-il
de ces séductions ?
Lisez Es
8.20. Dites-le dans vos propres termes. Que plusieurs
membres de la classe lisent ce qu'ils ont écrit a voix haute.
Que déclare ici le Seigneur ?
Réfléchissez davantage
au fait d'aimer et de craindre Dieu en même temps. Notre amour
n'est -il pas issu de cette crainte ? Ou est-ce notre crainte
qui est issue de cet amour ? Discutez de ce sujet
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