Du 20 au 26 octobre
Samedi

4. Jésus notre espérance, deuxième partie

* E'TUDE DE LA SEMAINE

- VERSET A MEMORISER

En attendant la bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-lésus. Tt 2.12
PENSEE CENTRALE

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En tant qu'église, nous avons fait figurer le mot << adventiste >> dans notre nom pour nous aider à nous identifier. Ce mot donne une idée de nos buts et de notre motivation - et même, de notre raison d'exister - parce que, plus que tout autre, ce nom proclame notre foi dans le proche retour de Jésus-christ.

La semaine dernière nous avons vu que Jésus était le fondement de notre espérance, grâce à ce qu'il a fait lors de sa première venue. Ce qu'il a accompli alors a préparé ce qu'il fera à son retour. Telle est notre grande espérance. Sans elle (et tout ce qu'elle implique), nous pourrions tout aussi bien fermer la porte, cesser de presser notre message et rejoindre une autre confession. En fait, sans cette espérance, pourquoi se joindre à une Eglise quelconque?

Si centrale que soit cette grande vérité - l'espérance que nous dorme la promesse de son retour -, la garder vivante dans l'église et notre vie personnelle exige efforts et attention. Sinon, les soucis et les nécessités de cette vie, à la façon des mauvaises herbes, l'étoufferont.

Cette semaine, nous examinerons un certain nombre de versets qui, de diverses façons et dans des contextes variés, expriment l'espérance qui est la nôtre en Jésus. Ils expliquent en partie pourquoi nous possédons cette espérance et montrent pourquoi il est nécessaire que nous nous y accro-chions, quelles que soient les tensions, la fatigue et les pressions qui nous en éloignent. Parce qu'en fin de compte, sans cette espérance particulière, tout espoir disparaît.