4.
Jésus notre espérance, deuxième partie
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- VERSET A MEMORISER
En attendant la
bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre
grand Dieu et Sauveur, le Christ-lésus. Tt 2.12 |
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En tant
qu'église, nous avons fait figurer le mot << adventiste >>
dans notre nom pour nous aider à nous identifier. Ce mot donne une
idée de nos buts et de notre motivation - et même, de notre raison
d'exister - parce que, plus que tout autre, ce nom proclame notre
foi dans le proche retour de Jésus-christ.
La
semaine dernière nous avons vu que Jésus était le fondement
de notre espérance, grâce à ce qu'il a fait lors de sa première
venue. Ce qu'il a accompli alors a préparé ce qu'il fera à son retour.
Telle est notre grande espérance. Sans elle (et tout ce qu'elle
implique), nous pourrions tout aussi bien fermer la porte, cesser
de presser notre message et rejoindre une autre confession. En fait,
sans cette espérance, pourquoi se joindre à une Eglise quelconque?
Si centrale
que soit cette grande vérité - l'espérance que nous dorme la promesse
de son retour -, la garder vivante dans l'église et notre vie personnelle
exige efforts et attention. Sinon, les soucis et les nécessités
de cette vie, à la façon des mauvaises herbes, l'étoufferont.
Cette semaine,
nous examinerons un certain nombre de versets qui, de diverses façons
et dans des contextes variés, expriment l'espérance qui est la nôtre
en Jésus. Ils expliquent en partie pourquoi nous possédons cette
espérance et montrent pourquoi il est nécessaire que nous nous y
accro-chions, quelles que soient les tensions, la fatigue et les
pressions qui nous en éloignent. Parce qu'en fin de compte, sans
cette espérance particulière, tout espoir disparaît.
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