Lisez Ellen G. White, « Science et Bible, »
pp.106, 112, dans Éducation; « La création
», dans Lhistoire de la rédemption, pp. 25, 27.
« Puisque le livre de la nature et le livre de la révélation
sont issus à lorigine de la même intelligence, ils
ne peuvent que saccorder. De façons différentes,
dans des langages différents, ils attestent les mêmes vérités.
La science découvre sans cesse de nouvelles merveilles et aucune
de ses recherches, si nous les comprenons bien, nentre en contradiction
avec la révélation divine. La nature et la parole écrite
séclairent mutuellement. Elles nous font connaitre Dieu
en nous enseignant certains aspects des lois à travers lesquelles
il agit.
Toutefois des conclusions erronées tirées de faits
naturels ont poussé les hommes à imaginer que la science
et la révélation sopposaient; et dans un désir
profond de rétablir lharmonie, on a adopté pour les
Écritures des interprétations qui sapent et détruisent
lautorité de la Parole de Dieu. On a pensé que la
géologie était en contradiction flagrante avec linterprétation
littérale du récit mosaïque de la création.
Il a fallu des millions dannées est-il proclamé
pour que le monde sorte du chaos; alors, pour adapter la Bible
à cette prétendue révélation de la science,
on a considéré que chaque jour de la création recouvrait
une période infiniment longue: des milliers ou même des
millions dannées.
Une telle conclusion est totalement déplacée. Le récit
de la Bible ne se contredit ni ne contredit la nature. » Ellen
G. White, Education, pp. 128, 129.