VENDREDI 25 février, 2022

 

Lire Ellen G. White, « Le calvaire », pp. 744-760; » « Tout est accompli », pp. 761-769, dans Jésus-Christ.

Le professeur Jiri Moskala a une fois expliqué la nature de ce jugement éternel. « Le désir de Dieu n’est pas d’afficher mes péchés comme dans une vitrine. Au contraire, Il dirigera tout d’abord les regards vers Sa grâce merveilleuse, puissante et transformatrice, et devant tout l’univers, Il expliquera, en tant que véritable Témoin de toute ma vie, mon attitude envers Dieu, mes motivations intérieures, ma pensée, mes actes, mon orientation et ma direction de vie. Il démontrera tout. Jésus témoignera que j’ai fait beaucoup d’erreurs, que j’ai transgressé Sa sainte loi, mais aussi que je me suis repenti, que j’ai demandé pardon et que j’ai été transformé par Sa grâce. Il proclamera: ‘‘Mon sang suffit au pécheur Moskala, il a orienté sa vie vers Moi, son attitude envers Moi et les autres est chaleureuse et désintéressée, il est digne de confiance, il est Mon bon et fidèle serviteur’ » (“Toward a Biblical Theology of God’s Judgment: A Celebration of the Cross in Seven Phases of Divine Universal Judgment,” Journal of the Adventist Theological Society, Spring 2004: p. 155.)

« Les rachetés, et avec eux les êtres qui n’ont pas péché, trouveront dans la croix du Christ leur science et leur chant. On verra que la gloire qui resplendit sur la face du Christ c’est la gloire de l’amour qui se sacrifie. On verra, à la lumière du calvaire, que la loi de l’amour qui renonce à soi-même est la loi de la vie pour la terre et pour le ciel; que l’amour qui “ne cherche pas son intérêt” a sa source dans le cœur de Dieu; et qu’en celui qui est doux et humble se manifeste le caractère de celui qui habite une lumière dont aucun homme ne peut s’approcher. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 8, 9.


À méditer

 

"Les êtres humains ont toujours eu tendance à offrir différents types de sacrifices à Dieu comme un échange du pardon ou du salut. Certains offrent à Dieu des actes héroïques de pénitence (longs voyages, etc.), d’autres offrent une vie de service, ou des actes de privation de soi, etc. Comment ces actes devraient-ils être considérés à la lumière du sacrifice de Jésus et de l’affirmation de l’Écriture selon laquelle la croix a mis fin à tous les sacrifices (Dan. 9:27, Heb. 10:18)?

« Au même moment, quel est le rôle du sacrifice dans la vie du croyant? Que voulait dire Jésus quand Il dit que nous devons prendre notre croix et Le suivre (Matt. 16:24), ou l’apôtre Paul quand il dit que nous devrions offrir notre corps comme « un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu » (Rom. 12:1, LSG)? Quelle est la relation entre les instructions de Jésus et de Paul (Matt. 16:24, Rom. 12:1) et Hébreux 13:15, 16?