DIMANCHE 29 avril, 2018

5_ CHRIST DANS
LE SANCTUAIRE CÉLESTE


Le sacrifice suprême


Étudier le sacrifice suprême de Christ fait beaucoup pour préparer les croyants pour la fin des temps. Souvent, les humains voient ce qui les attend, et c'est logique. Mais il est bon aussi de comprendre que l'objectif est derrière eux. Nous parlons du Calvaire. L'objectif, que Jésus a atteint pour nous, est irréversible, ultime, et donne la certitude de l'objectif devant nous également.

Lisez Romain, 8.3 ; 1 Thimothée 1.17; 6.16; 1 Corinthiens 15.53. Pourquoi Dieu a-t-il envoyé son Fils dans le monde ?

Dieu a envoyé Christ en offrande pour le péché, afin de condamner le péché dans la chair. Qu'est-ce que cela signifie ? En tant qu'Être immortel, Christ ne pouvait pas mourir. Par conséquent, le Seigneur s'est fait homme, en prenant notre mortalité sur lui pour pouvoir mourir en prenant notre place.

Bien que divin, et bien que Dieu par nature, Jésus est devenu " semblable aux humains, et il s'est humilié en devenant obéissant jusqu'à la mort " sur la croix (Ph 2.6-8). D'une manière connue seulement de Dieu, la divinité de Christ n'est pas morte quand Jésus est mort sur la croix. Cela dépasse notre compréhension humaine, mais la divinité de Jésus est restée en sommeil durant les neuf mois de la grossesse de Marie et dans les jours du tombeau, et Jésus ne s'en est jamais servi pour secourir son humanité pendant sa vie et son ministère ici-bas.

Lisez Luc 9.22. Que nous indique ce texte sur combien la mort de Christ était délibérée ?

Christ était né pour mourir. On peut imaginer que dans l'éternité, il n'y a pas eu un instant où il n'a pas pensé aux moqueries, à la flagellation, et à la crucifixion déchirante qu'il aurait à subir. C'est un amour hors pair, jamais vu auparavant, et en partie incompris.

Que peut-on faire d'autre devant un tel amour, à part tomber à genoux et adorer dans la foi et l'obéissance ?

Que nous démontre la réalité de la croix sur l'absence totale de valeur des mérites humains ?

10 Ellen G. White, Jesus-Christ, p. 11, 12.