VENDREDI 8 juin, 2018

 

L'attaque que Satan porte à la loi de Dieu est une attaque contre Dieu lui-même, aussi bien contre son autorité que contre son gouvernement. Ainsi, dans les derniers jours, lors des événements intenses de la crise finale, Satan attaquera ceux qui gardent " les commandements de Dieu " (Ap 12. 17 ; 14.12), car ils seront les seuls sur terre à refuser de lui rendre hommage à travers ses mandataires terrestres. La bataille qu'il a menée contre Dieu au ciel il y a longtemps se poursuivra ici sur terre, et tout comme il a été vaincu au ciel, il sera également vaincu ici sur terre.

" Depuis le tout début de la grande controverse dans le ciel qui oppose Satan au Christ, le dessein de l'adversaire a été de renverser la loi de Dieu. C'est dans ce but qu'il a déclenché sa rébellion contre le Créateur. Et, bien qu'il ait été chassé du ciel, il a continué la même lutte sur la terre. Tromper les hommes et les amener ainsi à transgresser la loi de Dieu est l'objectif qu'il a poursuivi avec persévérance. Que cela se passe en mettant de côté la totalité de la loi ou en rejetant un seul de ses préceptes, le résultat sera finalement le même. Celui qui "trébuche sur un seul point" manifeste son mépris pour l'ensemble de la loi ; son influence et son exemple sont du côté de la transgression ; par conséquent, il "devient entièrement coupable" (Jacques 2.10). "31



À méditer

 

• En classe, parlez des événements internationaux et de la manière dont ils renvoient à ce qui doit arriver dans les derniers jours, selon notre croyance. Quels événements doivent encore avoir lieu ? Comment apprendre à rester vigilant concernant les signes des temps tout en évitant de devenir fanatique, de fixer des dates, et de faire des prédictions sur des choses que la Bible et Ellen G. White n'ont pas explicitement enseignées ?

Attardez-vous à la question de l'adoration. Que signifie " adorer quelque chose " ? Comment adorons-nous ce que nous adorons ?

Attardez-vous sur l'idée que Dieu a encore un peuple à Babylone. Que comprenons-nous de la signification du terme Babylone (qui est évident symbolique et non littéral) ? Que nous enseigne cette compréhension sur notre obligation à continuer de prêcher notre message, quelles que soient leurs croyances politiques et/ou religieuses ?

Ellen G. White, Le grand espoir, p.427.