Mardi, 4 janvier, 2011
1_Remèdes divins contre l'angoisse

" La confiance contre l'angoisse "


Réfléchissez aux paroles réconfortantes de Jésus adressées à ses disciples, dans Jn 14.1, 2. Que s'était-il passe immédiatement avant? Dans quelle direction dirigeait-il leurs pensées ?

Ces mots chargés d'amour encouragent la confiance. Placez votre confiance dans le Père, placez-la en Jésus, car une telle confiance libère le cœur troublé qui envisage l'avenir avec détresse. Jésus a aussitôt dirigé l'attention des disciples vers le royaume qu'il leur préparait. En d'autres termes, peu importe ce qui survient ici-bas, aussi terrible que soit la situation, voila ce qui nous attend. C'est pourquoi, placez votre confiance en moi et en mes promesses. Tel est le message de Jésus à ses disciples d'alors. C'est aussi le message qu'il nous adresse aujourd'hui.

Au cours de certaines sessions de thérapie, les patients interprètent des rôles en rapport avec la vraie vie dans le but d'accroître leur confiance et l'estime qu'ils ont d'eux-mêmes. En outre, ils apprennent à maitriser leurs pensées lorsque l'angoisse n'est pas loin, afin d'avoir l'esprit concentre sur des thèmes sécurisants. Ils se familiarisent également avec des techniques de relaxation et de respiration à utiliser dans les situations critiques.

Même si dans l'ensemble ces stratèges sont assez efficaces, elles portent sur la confiance en soi afin de réduire les moments d'anxiété. C'est tout à fait acceptable, quoiqu'incomplet, parce que la confiance en soi n'est qu'un petit pas en avant. C'est en Dieu, finalement, qu'il faut savoir placer sa confiance.

Quelle comparaison le psalmiste fait-il entre la confiance en Dieu et la confiance en la nature humaine ? Ps 118.8, 9.

Que dit Jésus dans Mt 18.3?

Il est nécessaire avant toute chose que les petits enfants aient confiance en leur mère ou en leur nourrice. Une fois cela acquis, ils se sentent en paix et remplis d'assurance vis-à-vis du monde et de leur avenir. Tel est le début de la confiance. Jésus nous a demande d'avoir avec lui le même type de relation qu'un enfant avec sa mère, de le laisser, avec une tendre sollicitude, nous consoler et nous réconforter. Mais pour y parvenir, nous devons choisir de le faire.

Prenez le temps de vous souvenir des moments où Dieu a répondu à vos prières et vous a procuré les meilleures choses qui soient. Ces expériences passées ne vous aident-elles pas à placer davantage encore votre confiance dans le Père céleste aujourd'hui, quelles que soient les circonstances difficiles qui sont les vôtres et quel que soit ce qui vous rend inquiet et préoccupé ? Expliquez ?