Le monde naturel offre un puissant témoignage non
seulement de l'existence de Dieu, mais aussi de sa puissance.
Malheureusement,
comme Paul nous en avertit, les êtres humains (nul
doute inspirés par Satan) se sont détournés
du Dieu vivant et ont adoré la création au
lieu du Créateur (voir Rm
1.19-25).
Lisez
Jr
10.12, 13. Quelle image est donnée ici, sur
la puissance créatrice de Dieu et sur son actuelle
implication dans les phénomènes naturels ?
Qu'apprenons-nous sur le caractère de Dieu en contemplant
ses uvres créées ?
Bien
sur, comme nous le savons tous, la nature devient parfois
hostile, provoquant l'horreur suite à des tremblements
de terre, des éruptions volcaniques, des inondations,
etc. Pourquoi ces tragédies surviennent, pourquoi
à tel endroit et à tel moment? Ce sont là
des questions auxquelles nous n'avons pas de réponse
aujourd'hui. Ce que nous savons, en revanche, c'est que
les premiers chapitres du livre de Job révèlent
l'existence d'un grand conflit cosmique entre Dieu et Satan
et que ce dernier utilise parfois les forces naturelles
à des fins mauvaises. Malgré ces terribles
calamités, la bonté de Dieu se voit néanmoins
dans le monde naturel.
Lisez
Ps
19.2-7. Puis, dans vos propres termes, paraphrasez
le message essentiel de ces versets.
La
nature est traditionnellement considérée par
les adventistes du septième jour comme le second
livre de Dieu. L'observation et l'étude du monde
naturel, si elles sont faites avec humilité et une
ouverture aux indications du Saint-Esprit, approfondissent
la foi et la confiance en Dieu. Elles permettent également
de mieux comprendre l'amour de Dieu pour ses créatures,
source de réconfort moral et spirituel. Parfois,
quand tout le reste fait défaut, la beauté
de la nature et son témoignage sur Dieu sont une
source de réconfort et d'espérance.
Alors
que vous vous témoignez de la bonté de Dieu
(notamment telle qu'elle se révèle dans la
nature) à quelqu'un, celui-ci pose la question des
tsunamis, tremblements de terre, famines, etc. Que lui répondrez-vous
? La manifestation de ces désastres naturels ne pose-t-elle
pas les limites de ce que la nature peut nous enseigner
sur Dieu ?