Vendredi 6 août, 2010

Lisez Ellen WHITE, Le ministère de la guérison, " Viatique de la vie journalière ", p. 405-408 ; Messages choisis, vol. 1, " Le Christ, centre du message ", p. 449, 450 ; Patriarches et prophètes, " La tentation et la chute ", p. 37-40; Seventh-day Adventist Encyclopédie, p. 712-714.

" Beaucoup se trompent au sujet de l'état de leur cœur. Ils ne se rendent pas compte que le cœur naturel est trompeur par-dessus tout et désespérément mauvais. Ils se drapent dans leur propre justice et sont satisfaits quand ils ont atteint leur propre idéal humain quant au caractère. " - Ellen WHITE, Messages choisis, vol. I, " La règle divine ", p. 376.

" Un grand besoin se fait sentir : que le Christ soit prêché comme le seul espoir de salut. Quand la doctrine de la justification par la foi fut présentée [...] elle fut pour beaucoup ce qu'est une eau fraiche pour le voyageur altéré. La pensée que la justice du Christ nous est imputée sans qu'il y ait mérite de notre part, comme un libre don de Dieu, sembla précieuse. " - Idem, " Une vérité et ses lettres de créance ", p. 422.

" L'épreuve fait partie de l'éducation donnée à l'école du Christ; elle est destinée à purifier les croyants et à les débarrasser des scories du monde. C'est parce que Dieu prend soin de ses enfants qu'il les éprouve; car les tribulations sont les méthodes de discipline qu'il choisit, les conditions qu'il a établies pour le bien de ceux qu'il aime. Celui qui lit dans le cœur des hommes connait leurs faiblesses mieux qu'eux-mêmes. Il voit que certains ont des compétences qui, bien orientées, pourraient servir à l'avancement de son règne. " - Idem, Conquérants pacifiques, " Un fidèle berger ", p. 469.



 

À méditer

• Comment votre foi vous a-t-elle soutenu au cours de circonstances particulièrement éprouvantes ? Et que vous ont appris celles-ci sur vous-même et sur Dieu ? Vous ont-elles permis d'aider des personnes traversant elle aussi des moments difficiles ?

• Méditez sur la mort et ses conséquences non seulement sur la vie, mais aussi sur le sens de celle-ci. De nombreux écrivains et philosophes se sont lamentés sur l'absurdité de la vie, celle-ci se terminant par une mort éternelle. Comment les chrétiens que nous sommes les répondraient-ils ? Pourquoi l'espérance que nous possédons en Jésus est-elle l'unique réponse à un tel manque de sens ?

Tout comme la chute d'Adam nous a imposé à tous une nature déchue, la victoire de Jésus offre une promesse de vie éternelle à tous ceux, sans exception, qui acceptent celle-ci par la foi. Avec une offre pareille à leur portée, qu'est-ce qui retient les gens de s'en approcher avec ardeur ? Comment chacun de nous peut-il aider ceux qui cherchent à mieux comprendre ce qu'offre le Christ et ce qu'il a accompli pour eux ?