L'espérance de l'Ancien Testament n'est pas fondée
sur les idées grecques de l'immortalité naturelle de l'âme,
mais sur l'enseigne- ment biblique de la résurrection finale
des morts.
Mais comment un corps humain qui n'existe plus, réduit en cendres
ou détruit par d'autres moyens, peut-il être ramené
à la vie? Comment quelqu'un qui est décédé,
peut-être depuis des siècles, voire des millénaires,
peut-il retrouver son identité? Ces questions nous amènent
à penser au mystère de la vie. Nous sommes vivants et
jouissons de la vie que Dieu nous accorde gracieusement chaque jour.
Même sans comprendre l'origine surnaturelle de la vie, nous savons
qu'au commencement Dieu fit naitre la vie à partir de la non-vie
par la puissance de Sa Parole (Genèse 1; Ps. 33:6, 9). Donc,
si Dieu avait pu créer la vie sur terre la première fois
à partir de rien (latin ex nihilo), pourquoi devrions-nous douter
de Sa capacité à recréer la vie humaine et à
restaurer son identité originelle?
Cette semaine, nous penserons à la notion de la résurrection
finale à l'époque de l'Ancien Testament, avec un accent
particulier mis sur les déclarations de Job, de certains psalmistes
et des prophètes Ésaïe et Daniel.
Étudiez cette leçon pour le sabbat 22 octobre.
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