« Toute l’assemblée des enfants d’Israël partit du désert de Sin, selon les marches que l’Éternel leur avait ordonnées; et ils campèrent à Rephidim, où le peuple ne trouva point d’eau à boire » (Exode 17:1, LSG).

Nous pouvons ne pas recevoir de Dieu tout ce que nous voulons, mais ne pourrions-nous pas nous attendre à recevoir de Lui tout ce dont nous avons besoin? Non pas ce dont nous pensons avoir besoin, mais ce dont nous avons vraiment besoin?

Les Israélites avaient certainement besoin d’une chose: l’eau. Juste après que Dieu dans la nuée eut conduit les Israélites à travers la mer Rouge, ils Le suivirent à travers le désert chaud et sans eau pendant trois jours. Particulièrement dans le désert, trouver de l’eau est si important, leur désespoir est compréhensible. Quand auront-ils l’eau dont ils ont besoin?
Alors, où Dieu les conduisit-Il? La colonne alla à Mara, où, enfin, il y avait de l’eau. Ils étaient surement excités. Mais quand ils goutèrent l’eau, ils la crachèrent immédiatement parce qu’elle était amère. « Le peuple murmura contre Moïse, en disant: que boirons-nous? » (Exode 15:24, LSG).

Puis, quelques jours plus tard, Dieu fit à nouveau la même chose. Cette fois, cependant, la colonne s’arrêta là où il n’y avait pas du tout d’eau (Exode 17:1).

Lisez Exode 15:22-27 et Exode 17:1-7. Que révéla Dieu à Israël sur Lui-même à Mara et à Rephidim? Quelles leçons auraient-ils dû en tirer?

A Rephidim, quelle question les enfants d’Israël ont-ils pose ? Cf Ex 17.7. Avez-vous déjà pose la même question ? Si oui, pourquoi ? Que ressentiez-vous, et qu’avez-vous appris après avoir obtenu la réponse à votre question ? Combien de fois avons-nous besoin qu’on nous réponde avant d’arrêter de la poser ?