Lisez Ellen G. White, " La délivrance ", pp. 562-577,
dans La tragédie des siècles; " La joie dans le Seigneur
", p. 107-118, dans Le meilleur chemin.
" Le saint Fils de Dieu n'avait pas à porter ses propres
péchés ni ses propres souffrances; il portait les souffrances
des autres, car c'est sur Lui que repose l'iniquité de nous tous.
Par la compassion divine, Il se relie à l'homme, et en tant que
représentant de la race, Il se soumet afin d'être traité
comme un transgresseur. Il regarde dans l'abime de malheur que nous ont
ouvert nos péchés, et propose de combler le fossé
de la séparation de l'homme et de Dieu. " (traduit d'Ellen
G. White, Bible Echo and Signs of the Times, 1er août 1892).
" Viens, mon frère, viens tel que tu es, pécheur
et souillé. Dépose le fardeau de ta culpabilité
sur Jésus, et par la foi, réclame Ses mérites. Viens
maintenant, pendant que la miséricorde se prolonge; viens avec
une confession, viens avec une contrition de l'âme, et Dieu te
pardonnera abondamment. N'essaie pas de manquer à cette autre
occasion. Écoute la voix de la miséricorde qui te supplie
maintenant de ressusciter d'entre les morts afin que Christ t'apporte
la lumière. Chaque instant semble maintenant se relier directement
au destin du monde invisible. Alors, ne laisse pas ton orgueil et ton
incrédulité te pousser à rejeter encore plus la
miséricorde offerte. Si tu le fais, tu devras te lamenter au der-
nier moment: ''la moisson est passée, l'été est
fini, et nous ne sommes pas sauvés.'' " (traduit d'Ellen
G. White, Testimonies for the Church, vol. 5, p. 353).