VENDREDI 8 novembre, 2019

 

Lisez Ellen G. White, " Lecture solennelle de la loi de Dieu ", p. 503-507.

" Il ne lui restait plus qu'à manifester sa foi. Dieu ayant accepté sa repentance, il pouvait se réjouir d'avoir reçu un pardon de ses iniquités. [...]

Tous les repentirs sincères procurent au croyant une joie durable. Lorsqu'un pécheur cède à l'influence de l'Esprit, il voit sa culpabilité et sa souillure jurer avec la sainteté du grand médecin des âmes. Il se voit condamné par ses transgressions ; mais qu'il ne se laisse pas aller au désespoir, car le pardon lui a déjà été accordé. Il doit se réjouir lorsqu'il a le sentiment de la rémission de son péché, grâce à l'amour d'un Père céleste qui pardonne abondamment. C'est la gloire de Dieu d'entourer de sa tendre sollicitude tous les pécheurs qui se repentent, de bander leurs blessures, de laver leurs péchés et de les revêtir de la robe du salut " - Ellen G. White, Prophètes et roi, p. 506,507.


À méditer

 

1. Sous quelles conditions peut-on expérimenter la joie du Seigneur (Ne 8.10) comme notre force ? C'est-à-dire, y a-t-il quelque chose que nous devons faire afin d'expérimenter la puissance de Dieu et son pardon dans nos vies ? Si ou, quoi ?

2. Comment trouver le juste équilibre entre pleurer sur nos péchés tout en nous réjouissant dans le Seigneur ? N'est-ce pas là une contradiction ? En quoi la loi et l'évangile réunis répondent-ils à cet apparent paradoxe ? (Voir Rm 3.19-24.)

3. Lisez Néhémie 8.10, où Néhémie dit au peuple : "Allez, mangez des viandes grasses, buvez des liqueurs douces et envoyez des parts à ceux qui n'ont rien de prêt, car ce jour est sacré pour notre Seigneur ; ne vous affligez pas, car la joie du Seigneur est votre force. Manger, boire, donner à ceux qui n'ont rien préparé, et faire tout cela parce que ce jour est sacré pour notre Seigneur ?" Que nous enseigne ce passage sur les manières dont nous pouvons nous réjouir dans le Seigneur ? Que signifie le fait qu'il soit sacré dans ce contexte ?