Bien qu'en tant qu'adventistes du septième jour, nous ayons
beaucoup en commun d'autres dénominations chrétiennes,
notre ensemble de croyances forme un système unique de vérités
bibliques que personne d'autre dans le monde chrétien ne proclame.
Ces vérités contribuent à nous définir
comme le reste eschatologique de Dieu.
Lisez Actes
4.8-12 ; 10.43. Quelle importance Pierre accorde-t-il à
Jésus-Christ dans sa compréhension du plan du salut ?
L'apôtre Paul dit aux Corinthiens que la bonne nouvelle, c'était
que " Dieu était dans le Christ, réconciliant
le monde avec lui-même " (2 Co 5.19). La mort de
Christ est notre réconciliation avec le Père, elle comble
le fossé causé par le péché et la mort.
Depuis des siècles, les chrétiens méditent sur
le sens de la mort et de la résurrection de Jésus, ainsi
que de la réconciliation qu'il est venu accomplir. En anglais,
on a appelé ce processus de réconciliation " atonement
" (expiation), qui vient d'un mot ancien signifiant à l'origine
" at-one-ment ", fait d'être " at one
", c'est-à-dire en accord. Par conséquent, l'atonement/expiation
dénote l'harmonie dans une relation, et s'il y a eu séparation,
cette harmonie devient la conséquence de la réconciliation.
L'unité de l'Église est ainsi un don de cette réconciliation.
Qu'enseignent les passages suivants sur le sens de la mort et
de la résurrection de Jésus ? Romains
3.24,25 ; 1 Jean 2.2; 1 Jean 4.9,10 ; 1 Pierre 2.21-24.
Bien que nous ayons cette croyance en la mort et la résurrection
de Christ en commun avec bien d'autres églises chrétiennes,
nous la proclamons dans le cadre de l'Évangile éternel
(Ap 14.6, COL), qui fait partie des messages des trois anges d'Apocalypse
14.6-12. En tant qu'adventistes du septième jour, nous mettons
l'accent sur ces messages comme aucune autre Église.
Comment apprendre à ne jamais oublier la réalité
de la mort et de la résurrection de Christ, ainsi que l'espérance
qu'elle offre ?