« Les lois de Dieu trouvent leur fondement dans la rectitude
la plus immuable, et sont tellement bien définies quelles
donnent le bonheur à ceux qui les observent. [ ...] La religion
amène lhomme dans une relation personnelle avec Dieu, mais
pas exclusivement. Car les principes du ciel doivent être vécus,
afin daider et de bénir lhumanité. »
Ellen G. White, Sons and daughters of God, p. 267.
« La négligence pure et simple pour la formation des
enfants au service de Dieu a entrainé le mal et en a conduit beaucoup
dans les rangs de lennemi, alors quils auraient pu, une fois
fidèlement instruits, devenir des collaborateurs du Christ. Les
fausses idées ainsi quune affection mal dirigée ont
nourri des traits de caractère qui ont rendu les enfants déplaisants
et malheureux ; tout cela a rempli damertume la vie des parents,
et a étendu cette influence funeste de génération
en génération. Un enfant que lon laisse vivre comme
il lentend déshonore Dieu et attire la honte sur son père
et sa mère. [ ...] En négligeant leur rôle et en
laissant leurs enfants faire le mal, des parents leur ferment les portes
de la cité de Dieu. » Ellen C. White, Testimonies
for the Church, vol. 5, pp. 325,326.
Lécrivain russe Léon Tolstoï,
bien quélevé dans un foyer chrétien, a abandonné
sa foi pendant de nombreuses années. Devenu vieux, il sest
retrouvé devant une crise : quel était le sens de la vie,
en particulier lorsque la vie se termine par la mort ? il chercha la réponse
à cette question dans tous les domaines, mais il nen trouva
rien. Il finit par comprendre que la seule réponse logique à
lénigme de la vie se trouve dans la foi. Sa logique lui dit
daller au-delà de la logique, de faire un pas dans le monde
de la foi, afin de trouver des réponses au sens de la vie. Pourquoi
la foi en Jésus est-elle le choix le plus logique que lon
puisse faire concernant le sens et le but de la vie ?
Comment comprenez-vous lidée daimer
la vérité ? Comment aimer la vérité ? Aimer
la vérité, bien entendu, signifie que nous savons ce que
cest. Comment parvenir à une connaissance de la vérité
? Et comment être sûr de ne rien laisser sinterposer
entre bien-aimée vérité et nous ?