Lisez les expériences d’Elie
et de Job quand ils ont traversé des épreuves,
et leur signification pour nous qui vivons dans les derniers
temps dans Ellen G. White, « de Jizreel à Horeb
», pp. 113-121 ; « Que fais-tu ici ? » pp.
123-131 ; « Avec l’esprit et la puissance d’Elie
», pp. 133-142, dans Prophètes et rois.
« Attendre avec patience
et confiance lorsque tout parait sombre, voilà ce que
tous ceux qui ont la charge de l’œuvre de Dieu devraient
apprendre. Le ciel n’abandonne jamais les siens dans l’adversité.
Aucune situation n’est apparemment plus désespérée,
et cependant plus triomphante, que celle de l’homme conscient
de son néant en pleinement confiant en Dieu […]
Les épreuves surviendront,
mais continue d’avancer. Elles serviront à fortifier
ta foi et à te rendre apte auservice du Maitre. Le récit
sacré n’a pas été écrit simplement
pour que nous le lisions et en soyons émerveillés,
mais pour que nous arrivions à avoir une foi semblable
à celle que possédaient jadis les serviteurs de
Dieu »,
Ellen G. White, Prophètes et rois, pp. 129,130.
• Nous connaissons tous la parabole du bon
grain et de l’ivraie qui croissent ensemble jusqu’à
la moisson (Mt
13). Mais qu’est-ce que cela signifie en matière
de vie d’Église ? Qu’est-ce que cela signifie
si l’on veut s’occuper de la rébellion ouverte
et de l’apostasie dans nos rangs ? Devons-nous simplement
rester assis sans rien faire, en disant que tout cela sera réglé
quand le Seigneur reviendra ? Bien sûr que non. À
la lumière de cette parabole, mais également à
la lumière d’exemples où la discipline était
nécessaire dans l’Église primitive, comme dans
Corinthe et Galates, comment devons-nous nous occuper de l’ivraie,
en particulier de ceux dont le seul but semble être d’étouffer
le bon grain et rien d’autre ?
• Les tentations et les épreuves
nous arrivent à tous. Quelles promesses tirées dans
la Bible et des écrits d’Ellen White vous ont été
d’un grand réconfort et vous ont aidé à
persévérer dans votre foi ? Quels personnages de
la Bible comptent le plus pour vous dans les difficultés
ou en vue de ce qui arrivera ?
• Jacques nous dit de ne pas « nous
plaindre les uns des autres ». (5.9) Cependant, les
gens, et même d’autres chrétiens, peuvent faire
des choses qui nous ennuient et nous dérangent. Comment
apprendre à aimer, à pardonner, à supporter,
et à s’élever au-dessus de toutes ces «
mesquineries » de la vie qui peuvent nous mettre de mauvaise
humeur, nous rendre irritables, et faire ainsi de nous de mauvaises
témoins ?