"
Il arrive que les puissances des ténèbres enveloppent
l'âme et nous empêchent de voir Jésus. Nous
ne pouvons que patienter, dans le chagrin et l'étonnement,
jusqu'à ce que les nuages se dissipent. Ces moments sont
parfois terribles. L'espérance semble disparaitre et
le désespoir nous envahit. Dans ces heures pénibles
nous devons apprendre à faire confiance à Dieu
et, dans notre détresse, à nous appuyer sur les
seuls mérites de notre Sauveur crucifié et ressuscité.
Nous ne périrons jamais si nous faisons cela, non, jamais
! Quand la lumière brille sur notre chemin, il n'est
pas difficile d'être fortifiés par la puissance
de la grâce. Mais attendre patiemment avec confiance quand
les ténèbres nous enveloppent demande de la foi
et une soumission qui rendent notre volonté captive de
celle de Dieu. Nous sommes trop rapidement découragés.
Nous supplions Dieu qu'il nous délivre de l'épreuve
alors que nous devrions plutôt demander la force de la
supporter." - Ellen WHITE, Puissance de la grâce,
p.115.
Certaines personnes surmontent des difficultés qui en écraseraient
d'autres. Pourquoi cette différence de comportements ?
Réfléchissez davantage aux épreuves et aux
tragédies qui ne semblent avoir aucun aspect positif. Que
devons-nous en penser ? comment les concilier avec notre foi et
les promesses de Dieu ?
Dans la troisième phrase de la citation de vendredi ("
dans ces heures pénibles nous devons apprendre à
faire confiance
" que nous dit Elle White ? Vers
quelle espérance nous dirige-t-elle ? Pourquoi, finalement,
l'Evangile, tel qu'il est présenté par ces mots,
est-il notre unique espérance, indépendamment des
tragédies qui nous frappent ?
Comment appliquer concrètement le conseil de Pierre dans
1
P 4.12 ? Faire preuve de résilience et de fidélité
dans les épreuves est une chose, mais appliquer les paroles
de Pierre ? Comment est-ce possible ?
Imaginez-vous face à une personne dans une situation très
douloureuse qui semble, humainement parlant, totalement désespérée.
Supposons que vous n'ayez que cinq minutes à passer avec
elle. Que lui diriez-vous, en l'espace de ces cinq minutes, pour
lui redonner espoir ?