Vendredi 11 février, 2011

 

" Il arrive que les puissances des ténèbres enveloppent l'âme et nous empêchent de voir Jésus. Nous ne pouvons que patienter, dans le chagrin et l'étonnement, jusqu'à ce que les nuages se dissipent. Ces moments sont parfois terribles. L'espérance semble disparaitre et le désespoir nous envahit. Dans ces heures pénibles nous devons apprendre à faire confiance à Dieu et, dans notre détresse, à nous appuyer sur les seuls mérites de notre Sauveur crucifié et ressuscité. Nous ne périrons jamais si nous faisons cela, non, jamais ! Quand la lumière brille sur notre chemin, il n'est pas difficile d'être fortifiés par la puissance de la grâce. Mais attendre patiemment avec confiance quand les ténèbres nous enveloppent demande de la foi et une soumission qui rendent notre volonté captive de celle de Dieu. Nous sommes trop rapidement découragés. Nous supplions Dieu qu'il nous délivre de l'épreuve alors que nous devrions plutôt demander la force de la supporter." - Ellen WHITE, Puissance de la grâce, p.115.

À méditer

• Certaines personnes surmontent des difficultés qui en écraseraient d'autres. Pourquoi cette différence de comportements ?

• Réfléchissez davantage aux épreuves et aux tragédies qui ne semblent avoir aucun aspect positif. Que devons-nous en penser ? comment les concilier avec notre foi et les promesses de Dieu ?

• Dans la troisième phrase de la citation de vendredi (" dans ces heures pénibles nous devons apprendre à faire confiance… " que nous dit Elle White ? Vers quelle espérance nous dirige-t-elle ? Pourquoi, finalement, l'Evangile, tel qu'il est présenté par ces mots, est-il notre unique espérance, indépendamment des tragédies qui nous frappent ?

• Comment appliquer concrètement le conseil de Pierre dans 1 P 4.12 ? Faire preuve de résilience et de fidélité dans les épreuves est une chose, mais appliquer les paroles de Pierre ? Comment est-ce possible ?

• Imaginez-vous face à une personne dans une situation très douloureuse qui semble, humainement parlant, totalement désespérée. Supposons que vous n'ayez que cinq minutes à passer avec elle. Que lui diriez-vous, en l'espace de ces cinq minutes, pour lui redonner espoir ?