Que les hommes soient riches, puissants, beaux ou célèbres, tous affrontent la mort. La médecine, les régimes et l'exercice physique ne font que reculer l'inévitable. Quels que soient notre milieu social, notre éducation, notre race, nos croyances ou la couleur de notre peau, la mort finit toujours par nous atteindre. La vie ici-bas est toujours un pari perdu d'avance. Plutôt difficile, si l'on y pense: traverser la vie en luttant contre les épreuves, les tragédies, les maladies et les déceptions pour réaliser qu'en fin de compte ce qu'on redoute le plus, la mort, est le seul moyen d'y mettre fin!

Heureusement, la Bible révèle ce que ne peuvent montrer la nature, la science, l'histoire ou la philosophie : la mort n'aura pas le dernier mot. Au contraire, grâce à Jésus, la vie éternelle marque la fin de l'histoire pour ceux qui acceptent le Christ comme leur Seigneur et Sauveur.

Si ce monde n'offre aucune réponse à la mort, il est consolant d'apprendre qu'il existe néanmoins une réponse, celle que l'on trouve en Jésus. II est consolant de réaliser que la mort n'est pas la fin, qu'elle ne ressemble pas à une longue nuit sans matin. La tombe n'est pas une prison sans espoir de délivrance. Jésus-Christ est entré dans la tombe et il en est ressorti triomphant; grâce à sa victoire sur la mort, nous en triompherons nous aussi. Telle a été la puissance du ministère du Christ, rendue efficace pour nous. Même la mort s'y est heurtée.

Telle est l'espérance que présente la Bible, où se trouve l'histoire de Jésus, de ce qu'il a fait et fera pour nous, La Bible répond au problème le plus terrible qui soit, celui de la mort. Nous y trouvons cette espérance: la mort n'est pas obligatoirement la fin de tout.