VENDREDI
17 novembre, 2017 |
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Lisez Ellen G. White, Messages à la jeunesse,
chapitre 27, p. 103, 104 ; Heureux ceux qui..., " Le vrai mobile
de la vie chrétienne ", p. 101, 102 ; Témoignages
pour l'église, vol. 1, chap. 71, p. 398-409.
" [Jésus] ne donnait pas son consentement au péché.
Il ne céda pas à la tentation, même en pensée.
Nous pouvons faire de même. L'humanité du Christ était
unie à la divinité ; la présence du Saint-Esprit
le rendait apte au combat. Or, il est venu pour nous rendre participants
de sa nature divine. Aussi longtemps que nous sommes unis à lui
pan la foi, le péché ne domine pas sur nous. Dieu fait
en sorte que par la main de la foi nous saisissions fortement la divinité
du Christ, afin d'atteindre à la perfection du caractère
"33. " Lors de notre baptême, nous avons promis de briser
tout lien avec Satan et ses agents, et d'uvrer de tout notre cur,
de tout notre esprit et de toute notre âme à étendre
le royaume de Dieu. [...] Le Père, le Fils et le Saint-Esprit
ont promis de coopérer avec des agents humains sanctifiés
".34
" Le christianisme sans la foi et les uvres n'est d'aucune
valeur. Nul ne peut servir deux maitres. Les enfants du méchant
sont les serviteurs de celui à qui ils obéissent. A moins
d'avoir renoncé au diable et à ses uvres, il leur
est impossible d'être serviteurs de Dieu. Les serviteurs du Roi
du ciel ne peuvent sans dommage prendre part aux plaisirs et aux amusements
des serviteurs de Satan, alors même qu'ils répètent
souvent que ces distractions sont innocentes. Dieu a révélé
de saintes vérités afin de séparer ses enfants
des impies et d'en faire un peuple qui lui soit consacré. Les
adventistes du septième jour devraient vivre selon leur foi
"35.
Bien que nous ayons
tous ces merveilleuses promesses de victoire sur le péché,
le fait est que nous tous, même les chrétiens nés
de nouveau, sommes conscients de notre nature déchue, de notre
condition de pécheurs, et de la corruption de nos curs. Est-ce
contradictoire ? Justifiez votre réponse. En classe, donnez un
témoignage de ce que Christ a fait pour vous, des changements que
vous avez vécus, et de la nouvelle vie que vous avez en lui.
Il
est très important de ne jamais oublier que notre salut ne repose
qu'en ce que Christ a fait pour nous, mais quels dangers court-on à
trop mettre l'accent sur cette merveilleuse vérité au détriment
de l'autre partie du salut : ce que Christ fait en nous pour nous transformer
à son image ? Pourquoi avons-nous besoin de comprendre et de souligner
ces deux aspects du salut ?
33. Ellen G. White, Jésus-Christ, chap. 12, p. 105.
34. Ibid., The SDA Bible Commentary [Le commentaire biblique adventiste],
vol. 6, p. 1075.
35. Ibid., Témoignages pour l'Eglise, vol. 1, chap. 28, p. 173.
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