Le retour de Jésus constitue le point culminant
de la foi chrétienne. La première venue de Jésus
et sa mort sur la Croix sont les évènements précurseurs
de sa seconde venue. Le second avènement ne pourrait pas arriver
sans le premier, et le premier sans le second est vain. Les deux sont
inséparables, sinon dans le temps, du moins dans leur objectif,
qui est la rédemption de l'humanité et la fin du grand
conflit. La première venue est terminée, complète
et accomplie. Nous attendons désormais ardemment la deuxième.
Cette semaine, nous étudierons ce qui est rapporté dans
Matthieu
23, avec le dernier appel de Jésus à certains chefs
juifs, pour qu'ils se repentent et l'acceptent, lui, leur seul espoir
de salut. Puis, dans Matthieu 24, Jésus répond à
des questions sur les évènements qui précéderont
sa venue. Jésus présente ici un tableau plutôt solennel,
en associant la destruction de Jérusalem à ce qui précédera
son retour.
Et pourtant, aussi dures que les choses puissent devenir, c'est-à-dire
les guerres, les famines, les trahisons, nous avons la promesse du "
Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec beaucoup
de puissance et de gloire " (Mt 24.30). Autrement dit,
malgré les peines et les chagrins, nous avons toutes les raisons
de nous réjouir.
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la leçon de cette semaine pour le sabbat 11 juin »
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