« Dieu béni le travail des hommes; mais il veut
que ceux-ci lui réservent sa part. Il leur dispense le
soleil et la pluie; il leur accorde la santé et la possibilité
de gagner leur vie. Tout provient de sa main généreuse.
Il désire qu'hommes et femmes lui prouvent leur reconnaissance
et lui apportent dîmes et offrandes: offrandes d'actions
de grâces, volontaires, de culpabilité. Ils doivent
même leurs ressources à son service, afin que sa
vigne ne soit pas stérile. Il faut qu'ils se demandent
ce que Jésus ferait à leur place [...] Ils feront
aussi preuve de désintéressement dans leur participation
à l'uvre divine qui s'accomplit sur toute la terre.
» - Ellen WHITE, Prophètes et roi, «
La maison d'Israël », p. 536
Considérez le mariage dans la Bible. Parce que le
mariage est sacré - crée par Dieu lui-même
- sa dissolution n'est autorisée que selon des règles
très strictes. En fait, comment le mariage pourrait-il
être sacré et avoir une quelconque valeur s'il était
possible d'y mettre fin facilement? S'il était possible
de divorcer pour de raisons banales, le mariage lui-même
perdrait de son importance. Comment le fait qu'un mariage ne peut
prendre fin que selon des règles strictes prouve-t-il son
importance?
Relisez attentivement avec les membres de la classe MI
2.17. Que dirions-nous, en tant qu'adventistes du septième
jour connaissant l'existence d'une instruction du jugement, à
ceux qui exprimeraient les mêmes sentiments que ceux du
texte?
Il est fait mention dans MI
3.19-24 de la destruction finale des hommes perdus. Rien n'en
restera. Comment cet enseignement s'oppose-t-il à l'idée
d'un feu de l'enfer brulant éternellement? Pourquoi le
contexte entre ces deux points de vue est-il un bon exemple de
la façon dont une fausse doctrine peut conduire à
une fausse compréhension du caractère de Dieu?
Le Grand Inquisiteur est un récit contenu dans le roman
Les Frères Karamazov, de l'écrivain russe Dostoivski.
Il y décrivait l'Eglise de son temps comme une institution
qui avait une telle maîtrise des choses qu'elle n'avait
plus besoin du Christ. Ce même danger nous menace-t-il aujourd'hui?
Si c'est le cas, sous quelle forme? Comment ce danger peut-il
être subtil que nous l'imaginons?