Les mots sont très puissants.
« Une parole dite à propos » (Pr
25.11), un compliment, un vers poétique, des histoires
peuvent façonner des vies de manière profonde.
Ce que nous disons peut rester des jours ou même des
années. Les enfants, par exemple, absorbent les mots
comme des éponges. Cest pourquoi ils parviennent
à parler rapidement la langue quils entendent
en grandissant, quelle quelle soit. Cest également
pour cela que les messages quils entendent sur eux-mêmes
peuvent présager de leurs réussites ou de leurs
échecs à venir. Pour le meilleur ou pour le
pire, le type de communication des parents est reproduit et
amplifié chez leurs enfants.
La parole écrite est puissante
également, et dure encore plus longtemps. La plus puissante
de toutes est la parole de Dieu. Considérez ceci :
« Ta parole est une lampe pour mes pieds, une
lumière pour mon sentier » (Ps 119.105),
« Je serre dans mon cur ce que tu as dit,
pour ne pas pécher contre toi » (Ps 119.11).
Jésus a détourné lattention des
disciples des bénédictions temporelles vers
autre chose de bien plus vital : « Les paroles
que, moi, je vous ai dites sont Esprit en sont vie
» (Jn 6.63).
Les mots peuvent réconforter
en rassurer ou bien envenimer les choses et tout gâcher.
Combien de fois avez-vous dit quelque chose que vous avez
regretté?
Comme nous allons le voir cette
semaine, Jacques a des paroles très importantes au
sujet de cela, par exemple des paroles.
«
Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat
15 novembre»
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