Texte de référence: Mt
5.27-32.
Lexemple suivant proposé par Jésus
concerne les commandements liés à ladultère.
Il cite dabord le septième commandement: Tu
ne commettras pas dadultère. Dans le contexte
de la loi de Moise, il y avait adultère dès
lors quune personne mariée était sexuellement
engagée avec une autre personne que son conjoint.
La loi était très claire: les deux personnes
déclarées coupables dadultère
devaient être mises à mort. Comme il la
fait avec le sixième commandement, Jésus a
montré les implications plus profondes de ce commandement
particulier.
Ladultère commence souvent longtemps avant
que lacte soit commis. De la même manière
que le meurtre commence dès quil y a intention
de nuire définitivement à quelquun,
ladultère commence au moment précis
où un individu éprouve du désir sexuel
pour une autre personne, mariée ou non, à
laquelle il nest pas marié.
Lisez Matthieu
5.29, 30
Jésus pourrait-il être plus percutant clans
sa description des dangers liés au péché
? Après avoir examiné ces textes, lisez Romains
7.24. Quelles vérités importantes y trouve-t-on?
Là aussi, Jésus fournit un remède
instantané pour ces péchés qui viennent
dêtre exposés. La solution nest
pas daller au bout du péché, mais davoir
une conversion du cur. A laide de métaphores
puissantes, Jésus conseille à celui qui a
ce problème de faire ce quil faut sil
veut entrer dans le royaume. Cela peut impliquer de prendre
un chemin différent pour aller travailler, ou de
mettre un terme à une amitié, mais le gain
éternel a bien plus dimportance que les passions
dun instant.
Comme nous lavons vu auparavant, Moïse a permis
le divorce bien quil sût que cela ne faisait
pas partie du plan de Dieu à lorigine. Après
sêtre adressé aux hommes mariés
aux regards concupiscents, en les mettant en garde pour
quils contrôlent leurs pulsions, Jésus
encourage la fidélité conjugale à vie.
« La volonté de renoncer au mal est
comparée au sacrifice dun il ou dune
main. Il nous semble parfois que se soumettre à la
volonté de Dieu, cest consentir à traverser
lexistence en mutilé ou en infirme. Il est
préférable, dit Jésus, de mutiler le
moi, de lamputer, de le diminuer, si ce sacrifice
nous assure lentrée dans la vie. Ce que vous
regardez comme un malheur vous ouvre, en réalité,
la porte du plus grand bonheur ». Ellen G. White,
Heureux ceux qui, p. 70. Quimpliquent ces paroles
pour votre vie?