Isaac et Rebecca vivaient avec leur fils adulte, Jacob, et son Frère jumeau marié, Esau. Les veuves éplorées, Noémi et Ruth, liées par leur condition de mère et de belle-fille, se sont consolées l'une l'autre. Jérémie était célibataire. Osée a élevé seul ses trois enfants avant de se réconcilier avec Gomer. On trouve d'autres types de famille dans la Bible, comme celle de Lazare et de ses soeurs, Marthe et Marie, qui vivaient à Béthanie. C'est la que Jésus leur rendait visite Jn 11.1-3,20). Aquilas et Priscille étaient mariés, mais n'avaient apparemment pas d'enfants (Ac 18.2,18; 1 Co 16.19). A Lystre vivaient une grand-mère, Lois, sa fille Eunice et son petit-fils Timothée. Le père grec de Timothée s'est peut-être séparé de sa famille parce qu'il était incroyant (Ac 16.1;2Tm 1.5;cf 1 Co 7.15).

Dieu accepte la diversité familiale. Que Dieu aime et se soucie de familles aussi diverses est une grande source d'encouragement pour notre monde actuel. Cela devrait également nous faire apprécier les différentes sortes de familles au sein de l'Eglise.

Les interventions de la grâce de Dieu, tout au long de l'histoire du salut, témoignent de sa miséricorde envers l'humanité dans un monde que le péché a souillé et ou le dessein divin concernant la famille n' est que rarement réalisé. Les Ecritures, cependant, mentionnent fréquemment des valeurs essentielles destinées à préserver, ou si nécessaires, à restaurer et redonner son vrai sens au don de la sexualité fait par Dieu à la famille humaine. Ces valeurs font de l'intimité sexuelle l'expression mutuelle d'un amour désintéressé réservé au mariage monogame entre un homme et une femme uniquement (la Bible ne réserve pas les mariages entre personnes de même sexe). Les mariages ou ces valeurs sont acceptées sont agréables à Dieu, mais quand la sexualité s'exprime différemment ou est exploitée, la conception divine du mariage est affaiblie ou minée et l'humanité avilie.