Deutéronome 30 commence par les paroles du Seigneur
disant à Israël ce qui se passerait si le peuple se repentait
et se détour- nait de ses mauvaises voies. Quelles merveilleuses
promesses!
Lisez Deutéronome
30:1-10. Quelles sont les promesses qui leur sont faites par
Dieu, même si cela parle de ce qui leur arriverait s'ils désobéissent?
Qu'est-ce que cela nous apprend sur la grâce de Dieu?
Cela aurait certainement été réconfortant à
entendre. Cependant, ce n'est pas que le fait qu'ils se détournent
de ce que Dieu avait commandé n'a pas d'importance. Le Seigneur
n'offre à personne une grâce bon marché. Dieu leur
montre Son amour, et donc, en retour, ils devraient aussi L'aimer,
révélant leur amour en étant obéissant
à ce qu'Il leur a dit de faire.
Lisez Deutéronome
30:11-14. Que leur dit le Seigneur? Quelle est la promesse fondamentale
dans ces versets, et quels textes du Nouveau Testament reflètent
la même promesse selon vous?
Avec ce beau langage, et cette logique hermétique, remarquez
l'appel. Le Seigneur ne leur demande rien de trop difficile à
faire. L'ordre de Dieu n'est pas trop " difficile " ou "
mystérieux " à comprendre. Il n'est pas non plus
au-delà de leur portée ou trop loin à atteindre.
Il n'est pas dans le ciel, si loin que quelqu'un d'autre aille le leur
chercher; il n'est pas non plus de l'autre côté de la
mer, pour que quelqu'un d'autre le leur apporte. Au contraire, le Seigneur
dit: " C'est une chose, au contraire, qui est tout près
de toi, dans ta bouche et dans ton cur, afin que tu la mettes
en pratique. " (Deut. 30:14, LSG). C'est-à-dire
que, vous le connaissez assez bien pour être en mesure d'en parler,
et il est dans votre cur afin que vous le sachiez et le mettiez
en pratique. Par conséquent, il n'y a aucune excuse pour la
désobéissance.
En fait, l'apôtre Paul cite certains de ces versets dans le
contexte du salut en Christ; c'est-à-dire, Paul se réfère
à eux comme un exemple de justice par la foi. (Voir
Rom. 10:6-10.)
Ensuite, après ces versets dans Deutéronome, on dit
aux enfants d'Israël, oui, de choisir la vie ou la mort, la bénédiction
ou la malédiction. Et si, par la grâce et par la foi,
ils choisissent la vie, ils l'auront.
Ce n'est pas différent aujourd'hui, n'est-ce pas?