Lisez la description d'Ellen G. White du ministère de la
guérison et de l'enseignement de Jésus dans "
À Capernaüm ", Jésus-Christ, pp. 234-244.
" Dans l'uvre de conquête des âmes, un grand
tact et la sagesse est nécessaire. Le Sauveur n'a jamais réprimé
la vérité, mais il l'a toujours dite avec amour. Dans Ses
[relations] avec les autres, Il a fait preuve du plus grand tact, et
Il a toujours été gentil et attentionnée. Il n'a
jamais été désobligeant, n'a jamais prononcé
inutilement une parole sévère, n'a jamais infligé
de douleur inutile à une âme sensible. Il ne censurait pas
la faiblesse humaine. Il dénonçait sans crainte l'hypocrisie,
l'incrédulité et l'iniquité, mais des larmes étaient
dans Sa voix lorsqu'il prononçait Ses réprimandes cinglantes.
Il n'a jamais rendu la vérité cruelle, mais a toujours
manifesté une profonde tendresse pour l'humanité. Chaque
âme était précieuse à ses yeux. Il s'exprimait
avec une dignité divine; pourtant Il s'est incliné avec
la plus tendre compassion et le plus grand respect pour chaque membre
de la famille de Dieu. Il voyait en chacun, une âme qu'il avait
pour mission de sauver. " - Ellen G. White, Le ministère
évangélique, section 4, p. 111.
" En classe, relisez ce qu'Ellen G. White a écrit
ci-dessus sur la façon dont Christ a exercé Son ministère
auprès des autres. Discutez de ces principes, puis discutez en
classe de la manière dont votre propre église reflète
ces principes sur le plan collectif.
" Connaissez-vous un " roseau brisé
" ou une " mèche qui brule encore " (Ésaïe
42:3)? Comment pouvez-vous aider cette personne sans la " briser
" ou " l'éteindre "? De quelle manière pouvez-vous
orienter ces personnes vers le Seigneur? Dans un sens pratique, que leur
diriez-vous de faire pour obtenir la guérison et l'aide?
" L'argument des différents auteurs d'Ésaïe
part du principe que les gens ne peuvent pas prédire l'avenir comme
Ésaïe l'a fait. Quel est le problème fondamental de
cet argument, et pourquoi devons-nous, en tant que chrétiens, rejeter
totalement ce principe?
Résumé:
La délivrance exige un libérateur. La
nation servante de Dieu serait délivrée par deux libérateurs:
Cyrus, qui libèrerait les captifs de l'exil babylonien, et un Serviteur
anonyme, dont l'identité en tant que Messie est progressivement
révélée. Ce Serviteur rétablirait la justice
et ramènerait la communauté des survivants à Dieu.