VENDREDI 29 novembre, 2019

 

Lisez Ellen G. White, La pierre de touche, p. 51-58 dans Le meilleur chemin.

" Il est des personnes qui ont appris à connaître l'amour et le pardon de Jésus-Christ, et qui désirent sincèrement être des enfants de Dieu ; toutefois, elles voient les imperfections de leur caractère et les insuffisances de leur régénération par le Saint-Esprit. Je leur dirai : Ne vous laissez pas abattre. Nous devrons souvent nous prosterner aux pieds de Jésus pour y venir pleurer sur nos manquements et nos erreurs, mais ce n'est pas une raison pour nous laisser aller au découragement. Même si nous sommes vaincus par l'ennemi nous ne sommes pas repoussés, délaissés ni rejetés par Dieu. Non ; Jésus-Christ est à la droite de Dieu, et il intercède en notre faveur. […] Il désire vous ramener à lui et voir reproduites en vous sa pureté et sa sainteté. Si seulement vous consentez à vous remettre entre ses mains, celui qui a commencé en vous la bonne œuvre la perfectionnera jusqu'au jour de Jésus-Christ. Priez avec plus d'ardeur ; que votre confiance soit plus implicite. À mesure que nous nous défions de nos propres forces, apprenons à nous confier en celles de notre Rédempteur, et nous glorifierons celui qui est notre vie et notre joie " - Ellen G. White, Le meilleur chemin, p. 57.



À méditer

 

1. Pensez à Daniel 2 et à la manière dont Daniel, il y a des milliers d'années a prédit avec autant de précision l'ascension et la chute des empires, allant même jusqu'à décrire (de manière très précise) la désunion de l'Europe moderne. Comment apprendre à tirer du réconfort de cette prophétie, qui nous montre avec tellement de puissance même dans le chaos de ce monde que Dieu sait tout ce qui arrive et qu'il l'a même prédit ?

2. Dieu sait tout de nous. C'est réconfortant et cela nous donne un sentiment de sécurité et l'assurance qu'il prend soin de nous. Maintenant, ainsi parle le Seigneur, celui qui te crée, ô Jacob, celui qui te façonne, ô Israël : n'aie pas peur, car j'ai assuré ta rédemption. Je t'ai appelé par ton nom : tu es à moi ! (Es 43.1). Comment assurer les autres de la présence et des soins de Dieu quand ils traversent des crises émotionnelle, relationnelles, sociales, on financières ?

3. Attardez-vous davantage sur la question de la leçon de mercredi, sur le fait qu'Esdras ne voulait pas appeler le roi à l'aide car il craignait que ses paroles sur la protection de Dieu ne paraissent creuses. Nous savons, par exemple, que Dieu nous guérit. Dans ce cas, si nous allons voir un médecin, est-ce que cela montre un manque de foi envers sa capacité à nous guérir ? Discutez de cette question en classe.