Lisez Ellen G. White, La pierre de touche, p. 51-58 dans Le meilleur
chemin.
" Il est des personnes qui ont appris à connaître
l'amour et le pardon de Jésus-Christ, et qui désirent sincèrement
être des enfants de Dieu ; toutefois, elles voient les imperfections
de leur caractère et les insuffisances de leur régénération
par le Saint-Esprit. Je leur dirai : Ne vous laissez pas abattre. Nous
devrons souvent nous prosterner aux pieds de Jésus pour y venir
pleurer sur nos manquements et nos erreurs, mais ce n'est pas une raison
pour nous laisser aller au découragement. Même si nous sommes
vaincus par l'ennemi nous ne sommes pas repoussés, délaissés
ni rejetés par Dieu. Non ; Jésus-Christ est à la
droite de Dieu, et il intercède en notre faveur. [
] Il désire
vous ramener à lui et voir reproduites en vous sa pureté
et sa sainteté. Si seulement vous consentez à vous remettre
entre ses mains, celui qui a commencé en vous la bonne uvre
la perfectionnera jusqu'au jour de Jésus-Christ. Priez avec plus
d'ardeur ; que votre confiance soit plus implicite. À mesure que
nous nous défions de nos propres forces, apprenons à nous
confier en celles de notre Rédempteur, et nous glorifierons celui
qui est notre vie et notre joie " - Ellen G. White, Le meilleur
chemin, p. 57.
1. Pensez à Daniel 2 et à la manière
dont Daniel, il y a des milliers d'années a prédit avec
autant de précision l'ascension et la chute des empires, allant
même jusqu'à décrire (de manière très
précise) la désunion de l'Europe moderne. Comment apprendre
à tirer du réconfort de cette prophétie, qui nous
montre avec tellement de puissance même dans le chaos de ce monde
que Dieu sait tout ce qui arrive et qu'il l'a même prédit
?
2. Dieu sait tout de nous. C'est réconfortant
et cela nous donne un sentiment de sécurité et l'assurance
qu'il prend soin de nous. Maintenant, ainsi parle le Seigneur, celui
qui te crée, ô Jacob, celui qui te façonne, ô
Israël : n'aie pas peur, car j'ai assuré ta rédemption.
Je t'ai appelé par ton nom : tu es à moi ! (Es 43.1).
Comment assurer les autres de la présence et des soins de Dieu
quand ils traversent des crises émotionnelle, relationnelles, sociales,
on financières ?
3. Attardez-vous davantage sur la question de la leçon
de mercredi, sur le fait qu'Esdras ne voulait pas appeler le roi à
l'aide car il craignait que ses paroles sur la protection de Dieu ne paraissent
creuses. Nous savons, par exemple, que Dieu nous guérit. Dans ce
cas, si nous allons voir un médecin, est-ce que cela montre un
manque de foi envers sa capacité à nous guérir ?
Discutez de cette question en classe.