Attardons-nous davantage sur les implications de la
théorie de l'évolution dans le cadre des événements
des derniers jours, en particulier concernant le rôle du sabbat.
Parmi les raisons qui ont poussé Charles Darwin auteur de cette
théorie, à promouvoir l'évolution, on a le fait
qu'il avait des difficultés à réconcilier le mal
et la souffrance avec l'idée d'un Créateur bienveillant
et aimant. Il ne comprenait pas le grand conflit. À cause de cette
erreur, il a recherché des réponses dans une autre direction.
Ce n'est pas non plus un hasard si, entre le début et la fin des
années 1800, alors que Darwin révisait et retravaillait
sa théorie de l'évolution, Dieu a suscité un mouvement,
l'Église adventiste du septième jour, qui a contrecarré
tout ce que la théorie de Darwin défendait. Comme c'est
intéressant que l'Église adventiste du septième
jour, dont les fondements créationnistes sont révélés
dans son nom même, ait commencé à se développer
vers la même période que la théorie de Darwin.
Qui sait, si Darwin avait lu et cru ces quelques lignes d'Ellen G.
White, le monde aurait peut-être échappé à
l'une des plus grandes énormités de la pensée humaine
depuis le géocentrisme et les générations spontanées
: " Quoique la terre fût souillée par le péché,
la nature demeurait le livre d'étude de l'homme. Un livre qui
ne pouvait plus présenter le bien seulement ; car le mal était
partout présent, marquant la terre, la mer, l'air, de son empreinte
dégradante. Là où autrefois éclatait uniquement
le caractère de Dieu, la connaissance du bien, se manifestait
désormais aussi le caractère de Satan, la connaissance
du mal. La nature, qui reflétait maintenant le bien et le mal,
avertissait sans cesse l'homme des conséquences du péché
"28.
Darwin a révisé ses spéculations évolutionnistes,
toutes fondées sur une fausse compréhension de la nature
et du caractère de Dieu et du monde déchu dans lequel
nous vivons. Malheureusement, les implications de sa théorie
font que les gens seront victimes des tromperies de Satan, en particulier
dans la crise finale.