Le retour de Jésus n'est pas l'épilogue,
l'annexe, ou la postface de cette triste histoire du péché
et de la souffrance dans ce monde déchu. Non. Le retour de Jésus,
c'est l'apothéose, le grand espoir de la foi chrétienne.
Sans cela, que resterait-il ? L'Histoire de l'humanité se poursuivra,
scène après scène, tragédie après
tragédie, jusqu'à ce que tout se termine dans la mort.
En dehors de l'espérance que nous offre le retour de Christ, la
vie, selon les mots de William Shakespeare, est " une histoire dite
par un idiot, pleine de fracas et de furie, et qui ne signifie rien ".
Et pourtant, nous avons cette espérance parce que Jésus
a payé notre rançon de sa vie (Mc
10.45), et qu'il revient vraiment pour récupérer son
dû. Les étoiles du ciel ne nous parlent par de son retour.
Les oiseaux qui gazouillent dans les arbres ne l'annoncent pas. En elles-mêmes,
ces choses renvoient peut-être à quelque chose de bon,
de prometteur, concernant la réalité. Mais elles n'enseignent
pas qu'un jour, quand Jésus reviendra, " [la dernière
trompette] sonnera, et les morts se réveilleront impérissables,
et nous, nous serons changés " (1 Co 15.52). Elles
ne nous apprennent pas qu'un jour nous lèverons les yeux et que
nous verrons "le Fils de l'homme assis à la droite
de la Puissance et venant avec les nuées du ciel "
(Mc 14.62) Non, nous savons toutes ces choses parce la Parole de Dieu
nous les enseignees, et nous avons confiance en ce que cette parole
nous promet.