Notre monde est en plein chaos, et nous autres, humains,
en sommes la cause. Et tout cela parce que nous sommes des pécheurs,
des créatures déchues dont la nature, au fond, est mauvaise.
Nous aimons pourtant penser que l'Humanité avance, quelle
progresse, mais rien que l'histoire du siècle écoulé
n'est pas très encourageante. Nous n'avons pas encore fait un
quart du siècle présent, et les choses ne sont pas très
engageantes non plus. Si le passé préfigure l'avenir,
tout ce que l'on peut attendre, pour citer un ancien homme politique
britannique, c'est « du sang, de la peine, des larmes et de
la sueur ».
Cependant, tout n'est pas perdu. Au contraire, Jésus
Christ est mort pour nos péchés, et par sa mort nous avons
la promesse du salut, de la restauration, de toutes choses devenues
nouvelles. « Alors je vis un ciel nouveau et une terre nouvelle,
car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et
la mer nétait
plus. » (Ap 21.1.)
Nous ne sommes pas seuls, abandonnés dans l'étendue
infinie d'un univers froid et apparemment indifférent, livrés
à nous-mêmes. Nous ne pourrions jamais nous débrouiller
seuls. Les forces qui se sont liguées contre nous sont bien plus
fortes que nous, C' est pourquoi dès avant le commencement du
monde,
Dieu a initié le plan du salut afin d'accomplir pour nous ce
que nous n'aurions jamais pu accomplir par nous-mêmes.
« Étudiez
la leçon de cette semaine pour le sabbat 4 juillet »
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