« Croire à la théorie de la vérité,
se dire chrétien, faire inscrire son nom sur les registres
déglise ne suffit pas. [...] Quelle que soit notre
profession de foi, elle est inutile si le Christ ne se manifeste
pas en nous par des uvres de justice. »
Ellen G. White, Les paraboles de Jésus, p. 272.
« La plus grande erreur de lesprit humain,
aux jours du Christ, fut dimaginer que lon pouvait
obtenir la justice par une simple adhésion à la
vérité. Lexpérience humaine a montré
quune connaissance théorique de la vérité
est incapable de sauver une âme. [
] Les plus sombres
chapitres de lhistoire sont ceux qui conservent le souvenir
des crimes inspirés par le fanatisme religieux. [...]
Le même danger persiste aujourdhui. Beaucoup de
gens se croient chrétiens, simplement parce quils
souscrivent à quelques formules théologiques.
Mais ils nont pas introduit la vérité dans
la vie pratique. [...] On peut faire profession de croire à
la vérité ; mais si lon ne devient pas plus
sincère, plus aimable, plus patient, plus pénétré
de pensées célestes, on est une malédiction
pour soi-même et pour le monde.
La justice que le Christ enseignait consiste à conformer
son cur et sa vie à la volonté révélée
de Dieu. » Ellen G. White, Jésus-Christ,
pp. 298,299.
Parlez de la manière dont nos décisions
ont un impact sur les autres, que ce soit en bien ou en mal, Pourquoi
ne peut-on échapper à ce fait ? Cette vérité
a pour la première fois été révélée
dans lhistoire de la Chute, et jusquà ce jour
les conséquences du choix dAdam et Eve se font sentir
dans la vie de chacun. Il peut être tentant dessayer
de quantifier la mesure de bien ou de mal que nos décisions
pourraient entrainer, mais cest risqué, car souvent
nous ne connaissons pas limpact quont nos choix, Pourquoi
donc, à la lumière de Dieu et de sa loi devons-nous
choisir de faire ce qui est bien, peu importe les conséquences
éventuelles que nous craignons?
Le livre des Proverbes fait une distinction
très nette entre le juste et linsensé, et
grâce à ces versets, nous savons ce qui est bien
et mal. Pourquoi, cependant, devons-nous être prudents quant
à ceux que nous jugeons comme insensés ? Dun
autre côté, combien de foi navons-nous pas
été trompés par ceux-là mêmes
que nous pensions juste?