Nous, adventistes du septième jour, comment devrions-nous aborder la question de l'environnement, en sachant que cette terre est corrompue, qu'elle continuera à l'être et qu'elle sera un jour détruite et brûlée dans un grand lac de feu: « Les éléments embrasés se dissoudront, et la terre, avec les œuvres qu'elle renferme, sera consumée » (2 P 3.10, Segond révisée à la Colombe)? Si l'on y ajoute la recommandation biblique selon laquelle l'être humain doit dominer « sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur toutes les bestioles qui fourmillent sur la terre », il n'est pas étonnant qu'il nous arrive parfois de nous demander comment réagir face aux questions d'environnement.

Cependant, en tant que gestionnaires de tous les dons divins, n'est-il pas de notre devoir de prendre soin de la terre? Après tout, Dieu ne l'a-t-il pas créée et n'a-t-il pas déclaré que tout cela était « très bon » (Gn 1.31)? En tant que peuple détenteur d'un message spécial du Dieu créateur (Ap 14.6;7), n'avons-nous pas à nous exprimer quant à la façon de traiter la création?

Cette semaine, nous examinerons certaines de ces questions.

« Étudiez la leçon de cette semaine pour le sabbat 25 février »