Projeter
de poursuivre et détendre votre ministère.
Tous
ceux qui se trouvent impliqués dans un ministère
de témoignage et dévangélisation
devraient se demander comment en faire un ministère perpétuel
plutôt quun événement occasionnel.
Pour sen assurer, il existe de nombreux moyens. Examinons
certains des plus vitaux dentre eux.
1.
Acceptez de partager vos responsabilités plutôt
que dêtre un homme- orchestre. Continuez de travailler
en équipe, de façon à partager le travail
et vous valoriser les uns les autres.
2.
Faites votre possible pour que lÉglise soit tenue
au courant du ministère effectué par votre équipe,
notamment en faisant régulièrement des rapports
aux principaux comités dévangélisation,
en insérant des articles dans le bulletin, en rédigeant
des lettres dinformation, en affichant vos activités,
en faisant des demandes de budget.
3.
Ayez constamment lil pour inviter personnellement
des membres à rejoindre votre équipe ou à
former une nouvelle équipe. Si quelquun offre de
rejoindre votre équipe suite à vos activités
et rapports, très bien; mais il vaut mieux inviter personnellement
que lancer un appel au bénévolat à grande
échelle.
4.
Il est absolument nécessaire dorganiser des formations
régulières, notamment quand il sagit de
témoigner et dévangéliser.
1. Examinez en classe vos réponses à la dernière
question de mardi.
2. « Soyons des canaux par lesquels le Seigneur communiquera
sa lumière et sa grâce au monde. Allons trouver les
membres qui sont partis. Détournons-nous de nos péchés,
confessons-nous et repentons-nous en humiliant notre cur
orgueilleux devant Dieu. Des flots de puissance spirituelle se
déverseront sur ceux qui seront préparés
à les recevoir. » Ellen WHITE, Testimonies
for the Church, vol. 8, p. 46 De quoi avons-nous besoin -
et pourquoi » pour aider à ramener des personnes
dans lEglise et leur faire retrouver le magnifique message
de « la vérité présente » que
personne dautre, en fait, ne prêche dans le monde
?
3. Quand des membres sen vont, aimons-les, gardons le contact,
ne les jugeons pas, ne les appelons pas « apostats »
ou, pire, ne leur jetons pas à la figure des citations
dEllen White sur les abandons. Au contraire, que ces tristes
expériences soient loccasion, comme le dit Paul,
de sexaminer soi-même « pour voir si vous êtes
dans la foi » (2 Co 13.5) et se demander si nous
naurions pas pu agir autrement, par exemple, pour que ces
personnes restent parmi nous. Plus important encore, ne rendons
pas leur retour plus difficile, au cas où elles changeraient
davis. Comment appliquer ces principes, en tant quEglise,
envers ceux qui nous ont quittés pour une raison ou pour
une autre ?